This isn’t a « true » reblog, but I just wanted to say that I had the same problem than the author of the blog post I’m about to link, and that his solution just did the trick for me too, so I thought I would give him full credit for the solution given it just worked completely unaltered in my situation too.
J’ai rencontré l’autre jour un problème qui s’est avéré assez compliqué alors que je cherchais à faire un truc simple à la base : je voulais ouvrir un projet de code C++ généré par CMake dans l’éditeur Eclipse et pouvoir le déboguer avec le débogueur inclus dans Eclipse. Sauf que bien sûr ça ne fonctionnait pas…
Et je me suis par la suite rendu compte qu’il ne s’agissait pas seulement d’un problème d’Eclipse mais que tous les logiciels utilisés à côté avaient également, à des degrés divers, leur part de responsabilité. Ou quand les logiciels se liguent pour faire chier au maximum !
Cet article est en rédaction depuis un moment, mais quel meilleur moment qu’aujourd’hui pour le publier puisque s’organise ce Dimanche à Lyon le Doctor Who Day ? Considérons donc qu’il s’agira de ma maigre participation vu qu’exceptionnellement, cet article sera narré (à grand renfort de gifs) par des acteurs de la série Doctor Who.
Bon, déjà que c’est un article au sujet extrêmement technique de base, pas sûr que l’on comprenne encore bien le problème de base ou la solution à y apporter, mais au moins une chose est sûre: cet article sera unique. Et c’était très amusant à écrire.
Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas regardé un bon film 🙂
24 Hour Party People (ou 24HPP) est un film britannique réalisé par Michael Winterbottom et nominé au Festival de Cannes en 2002. Le film emprunte son titre à une chanson des Happy Mondays, un groupe au centre du sujet du film. 🙂
Les publications sur ce blog deviennent de plus en plus éparses (la dernière remonte à quatre mois !), mais j’ai des excuses.
J’ai d’abord récemment déménagé de la banlieue lyonnaise pour la campagne iséroise (dans la riante commune de Saint-Chef, notamment chère à l’écrivain Frédéric Dard), un évènement qui a en soi pris un temps important en termes de préparations et de mise en place.
C’est aussi que tout simplement, je travaille depuis un an au sein d’Arkane Studios, et que si cette collaboration se passe pour le moment plutôt bien, elle prélève tout naturellement son dû sur mon temps libre… Car l’entreprise étant à Lyon, je dois faire les trajets depuis chez moi tous les jours !
Enfin, le reste de mon temps libre est bien occupé lui aussi. Avec la Loutre et sa sœur, nous avons monté Agape Studios, un petit studio de développement de jeux vidéo à but non lucratif (pour le moment, en tout cas), et nous développons depuis un peu plus d’un an sur notre temps libre notre premier projet : Crossfire. Il s’agit d’un visual novel dans l’univers du manga l’Attaque des Titans (c’est complètement gratuit et je compte bien publier le code source du jeu quand il sera fini) sur lequel j’essaierai d’écrire ici ! C’est fait avec un moteur de visual novel conçu en Python, appelé Renpy. Je devrais également vous en parler très prochainement…
Et sur le plan des projets plus théoriques, il me reste toujours à découvrir le langage Rust de Mozilla, que j’avais prévu de découvrir en implémentant un petit logiciel de raytracer, lorsque mon PC a soudain été volé. Subitement, ce projet a grandement perdu en priorité, mais il traîne encore dans un coin de ma tête.
Dans l’absolu, je souhaiterais également m’attaquer à la création d’un petit moteur de jeu en 3D, oui, je sais, encore un petit moteur 3D amateur qui n’ira sans doute pas bien loin ! C’est pourquoi le nom est déjà tout trouvé: le YAGE (Yet Another Game Engine), enfin ça c’est si ce n’était pas déjà pris. Il faudra en trouver un autre…
Bref, ceci afin de mieux appréhender des concepts qui me sont nécessaires dans mon boulot à Arkane, et aussi car ce sera une manière assez ludique de faire quelques révisions en mathématiques 🙂 Sans parler des multiples aspects technologiques que j’ai tout simplement envie d’aborder comme ça, en face à face, directement, sans que quelqu’un ait déjà pré-mâché le travail pour moi à quelque niveau que ce soit. Qui dit moteur de jeu en 3D pense immédiatement au langage C++, c’est effectivement le langage vers lequel je me tournerai en premier, mais fondamentalement, j’aimerais à terme essayer de voir de quoi est capable le Rust dans ce domaine. C’est à voir. 🙂
Git est un très bon logiciel de gestion de versionsdécentralisé qu’on ne présente plus (et pour ceux qui ne connaissent pas, il est toujours temps d’aller découvrir l’abondante documentation du projet), d’ailleurs créé par Linus Torvalds (qu’on ne présente plus non plus) et qui a depuis fait ses preuves pour gérer des projets d’une taille conséquente (comme, on pourrait le deviner, le kernel Linux).
Mais git est avant tout un outil très riche, et il n’est pas évident de maîtriser toutes ses spécificités – encore faut-il savoir qu’elles existent ! Les commandes Git, reposant en soi sur les mêmes principes que la plupart des VCS (ou logiciels de gestion de versions) et a fortiori des DCVS (VCS décentralisés), proposent beaucoup d’options utiles qui peuvent simplifier la vie des utilisateurs et de ceux qui utilisent un dépôt Git avec vous.
Voici donc un petit hall of fame des options que je suis bien content de connaître dans Git.
En ce 24 Août 2014, nous venons de passer la date anniversaire du Scylardor qui fête maintenant ses deux ans ! Un beau bébé blog qui continue de grandir !
Un petit mot pour expliquer qu’il n’y a pas eu d’article depuis un long moment, pour cause de travail intensif, et qu’il n’y en aura probablement que très peu d’ici la rentrée (voire après), pour cause de déménagements et autres travaux.
Mais ne vous en faites pas : quelques articles sont en cours d’écriture. Certains récents, d’autres qui sont de vieux amas de notes à mettre au propre. Il y aura également le traditionnel billet d’anniversaire du blog dans quelques semaines.
Le Scylardor n’est donc pas mort. Juste en veille estivale.