Je lis Vice de temps en temps, surtout pour leurs reportages déjantés et abordant parfois un point de vue décalé et intéressant. Et puis parfois, il y a ce que j’appelle les « articles ouin-ouin », ceux dans lesquels un journaliste nous explique pourquoi notre génération (laquelle en fait ? les Y ? les Z ? les W ? On ne sait pas trop) est trop doomed et que mourir d’une overdose d’héroïne demain (ou équivalent) est encore la moins pire chose qui puisse nous arriver pour abréger nos souffrances (en substance. Héroïne, substance… Tu l’as ? Héhéhé).
Une expérience de pensée que je souhaitais faire depuis un moment, c’est un « droit de réponse » d’un des principaux intéressés (un membre de la génération décrite, quoi) à un de ces articles. Déconstruisant les affirmations faciles, les quelques sophismes, et certaines vérités, je me suis rendu compte que je suis parfois d’accord avec certaines choses, pas d’accord sur d’autres que je pensais consensuelles, et parfois pour des raisons inattendues.
La fréquentation de ce petit blog n’a rien à voir avec celle de VICE mais voilà à quoi cela pourrait ressembler. 🙂 Je réponds à cet article : Notre génération ne sait plus quand s’arrêter de faire la fête.
Petite précision d’emblée : je sais bien que le ton acidulé de Vice est le plus souvent un brin sarcastique et pas totalement sérieux. Cette réponse se veut dans le même ton, ne prenez pas tout ce que j’écris au premier degré le plus strict.
Et je sais aussi que l’auteur d’origine est anglais et ne décrit peut-être pas le même monde que moi, mais je pense qu’il y a suffisamment de similitudes pour que la réponse soit pertinente.
Conversation virtuelle avec un journaliste qui ne la lira probablement jamais, et qui ne doit de toute façon même pas lire le français.
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